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De l’encre au pixel

C’est un empilement de formes géométriques aux couleurs contrastées qui attire l’œil au premier contact. Des disques et des rectangles qui s’arrangent pour former un ensemble cohérent et esthétique.
« La consigne nous imposait de débuter notre démarche sans l’ordinateur. C’était une première pour moi, assez déstabilisante » nous confie Marion Erard. La jeune graphiste a ainsi trempé la tranche de bouts
de carton dans l’encre de Chine et les a tournés sur une feuille de papier. « Ces formes me rappelaient celle du disque vinyle, comme celle des vagues circulaires qui se forment à la surface de notre verre lors d’un  concert,  lorsque  les  basses  sont  au  rendez-vous  »,  ajoute-t-elle.  «  De  la  musique,  analogique  et vivante qui me rappelait le Paléo. » 


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