es recherches participatives, diverses, nourrissent généralement l’objectif de rendre compte des savoirs expérienciels des personnes concernées par la recherche, de leurs propres points de vue et subjectivités (elles opposent à la connaissance « sur » la connaissance « pour » ou « avec »). En travail social, elles permettent notamment de rendre davantage visibles et audibles les expériences de personnes minorisées et, considérant que ces dernières sont expertes de leurs propres vies, de les inclure dans les décisions qui les concernent (par exemple des mesures).
Comme toute méthode, les recherches participatives présentent des avantages tout en posant différents défis épistémologiques et pratiques (par exemple quant au statut des discours, aux conditions de partenariat et aux pratiques d’autorat, aux outils mobilisés, aux retombées de la recherche, à son financement, …).
C’est à ces questionnements et enjeux autour des projets et recherches participatives que sera consacrée la rencontre du 14 mai.