Comment, dès lors qu’entrer en communication avec les bénéficiaires fait problème, les professionnelles et les professionnels s’y prennent-elles/ils pour faire advenir les personnes ? À quelles conditions un lieu de vie où résident des personnes aux capacités entamées peut-il opérer comme un dispositif propre à « faire être » les personnes (ou « d’empersonnement ») ? Ces questions ont guidé l’enquête sociologique que Michel Peroni a menée dans un Foyer de vie pour personnes atteintes d’infirmité motrice cérébrale (IMC), dont il va nous narrer les éléments parmi les plus saillants.
Être, habiter, participer. Retour sur des catégories au cœur de l’intervention sociale auprès de personnes aux capacités entamées
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17.05
Haute école de travail social et de la santé Lausanne
