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La migration des truites sous la loupe d'une étudiante Master

Publié le 21.08.2017. Mis à jour le 05.05.2021.

Amandine Pillonel, étudiante en fin de Master of Science HES-SO in Life Sciences, orientation Natural Resource Management à la Haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture de Genève - hepia, étudie la migration des truites à la Maison de la Rivière à Tolochenaz. Elle tente d'établir les facteurs qui poussent certains poissons à migrer vers le lac.

Amandine Pillonel, étudiante à la HES-SO, analyse les truites et leur migration  pour son travail de Master. Elle a basé ses recherches à la Maison de la Rivière, le centre de compétences en gestion et renaturation des milieux aquatiques situé à Tolochenaz, dans le canton de Vaud.

Durant huit mois, elle va étudier les facteurs de la migration des truites grâce à un système qu’elle a élaboré dans les bassins.

Son hypothèse est que plus le milieu naturel des truites est diversifié, moins elles migreront vers le lac. Certains obstacles comme les barrages ou les centrales hydroélectriques empêchent les poissons de remonter les rivières pour s'y reproduire. «Cette interruption dans la migration peut entraîner une perte de diversité génétique», explique Amandine Pillonel.

La biodiversité à l'étude

La Maison de la Rivière accueille une autre étudiante pour la réalisation son travail de Master of Science HES-SO in Life Sciences. Sandrine Noverraz analyse la biodiversité dans le village de Tolochenaz. Elle proposera des solutions à la municipalité pour améliorer la richesse en espèces végétales.

> Revue de presse de la Maison de la Rivière